BESIX rénove un mur de quai du canal Albert

Global Me@BESIX Me@SixConstruct Me@Socogetra me@BELEMCO Me@Vanhout Me@Cobelba Me@BESIX Infra Me@JacquesDelens Me@FrankiFoundations Me@Vandenberg Group 1 min

Expertise maritime et limitation des émissions de CO2: comment BESIX a remporté le contrat

À Schoten, à deux pas du centre d'Anvers, BESIX rénove un mur de quai de 1.460 mètres le long de la rive droite du canal Albert. Le contrat, d'une valeur de 8,3 millions d'euros, a été attribué à BESIX par De Vlaamse Waterweg, responsable de la gestion des voies navigables en Flandre.

"Les travaux commenceront dans le courant de l'année 2021. La nouvelle protection des berges consiste en un mur de palplanches ancrées, qui sera construit en partie devant, en partie derrière la construction existante. Un nouveau chemin de halage sera également construit", explique Mark Beyst, General Manager Flanders & Brussels.

L'appel d'offres précisait que l'attribution du marché ne dépendait pas uniquement du prix. Le prix représentait 50 % des points. L'approche des soumissionnaires afin de maintenir les émissions de CO2 aussi faibles que possible représentait 30 % et le plan d'approche ainsi que la période d'exécution des travaux déterminaient les 20 % restants.

Ces deux derniers aspects ont activement contribué à l'obtention du contrat.

BESIX a adapté les méthodes et les techniques pour la construction de cet ouvrage en se basant sur son expérience dans les travaux marins. Cela a permis au groupe de proposer un délai de 318 jours ouvrables pour achever le chantier. Les méthodes pour minimiser les émissions de CO2 comprennent un plan logistique optimisé, l'utilisation extensive des voies navigables intérieures et le contrôle des aspects logistiques par un plan de mesure du CO2.

"Ce type d'appel d'offres correspond parfaitement à BESIX. Nous pouvons utiliser notre expertise de manière optimale pour ces travaux. Nous devons également saluer l'approche de notre client qui a fait en sorte que les critères environnementaux soient presque aussi déterminants que le prix dans l'appel d'offres. C’est une approche qu’on ne peut qu’espérer plus fréquente à l'avenir", conclut Mark Beyst.
NEWS